"Le clavicorde, cet instrument individuel, mélancolique, à la douceur ineffable, a certains avantages sur le clavecin et sur le piano-forte lorsqu’il a été fabriqué par un maître.
Il produit des couleurs musicales vives aussi bien que des demi-teintes, des notes qui enflent puis s’évanouissent doucement, des trilles fondants qui palpitent à peine sous les doigts, et il fait sonner le portato aussi bien que le vibrato ; en un mot, il dispose d’une nuance d’expression pour chaque nuance de sentiment.
Tout ceci peut être reproduit et suscité par la pression plus ou moins vigoureuse ou délicate d’un doigt, et par la vibration et la pulsation des cordes.
Ceux qui n’apprécient pas le fracas, la frénésie ou les orages, et dont le cœur trouve volontiers un soulagement bienvenu dans le débordement de doux sentiments, laisseront de côté le clavecin et choisiront le clavicorde. (…)
Lorsque vous improvisez sous la lumière de la lune ou que vous rafraîchissez votre âme par une nuit d’été, ou lorsque vous célébrez une soirée de printemps : ah ! détournez-vous alors du clavecin strident. Voyez votre clavicorde, il respire aussi suavement que votre cœur".
Des louanges du clavicorde aussi extravagantes que ce passage du poète et musicien allemand C.F. Daniel Schubart étaient monnaie courante au XVIIIe siècle. Le répertoire et la popularité du clavicorde atteignirent leur apogée en Allemagne dans la deuxième moitié de ce siècle, avec des compositeurs comme Carl Philipp Emanuel Bach et les « Bachistes » qui lui succédèrent, mais ce n’était pas un instrument vraiment nouveau. Il existait déjà depuis plusieurs centaines d’années, et avait été le seul instrument à clavier sensible au toucher jusqu’à l’invention du piano florentin à la fin du XVIIe siècle. Comme les pianos de Bartolomeo Cristofori, le clavicorde permettait à l’interprète de faire varier la force et la douceur du son en variant simplement la pression des doigts. Sa sonorité douce et extraordinairement variée évoquait, disait-on, la voix humaine, faisant de l’instrument « le miroir parfait des nuances de sentiment les plus délicates », « le confident saisissant de la solitude ».
Le clavicorde est habituellement construit dans une caisse rectangulaire. Ses cordes sont tendues de gauche à droite en travers de la caisse, et s’appuient sur un ou plusieurs chevalets collés sur la table d’harmonie qui occupe le côté droit de l’instrument ; la mécanique se trouve en général à gauche et au centre, et est constituée du clavier et des leviers, ceux-ci prolongeant les touches jusqu’à l’arrière de la caisse. Une lame de cuivre appelée la tangente est sertie à l’arrière de chaque levier. Lorsque le doigt du musicien enfonce la touche, l’extrémité du levier se soulève, amenant la tangente à frapper une corde (ou une paire de cordes) qui se met alors à vibrer. Comme le piano, le clavicorde est donc un instrument à percussion, ce qui le différencie du clavecin dont les cordes sont pincées. La tangente a une double action sur les cordes : elle les fait vibrer, mais elle module aussi leur longueur vibratoire « de façon similaire à l’action du guitariste qui détermine la hauteur du son d’une corde en l’appuyant sur l’une des frettes de la touche de son instrument. Selon le même principe, en positionnant une série de tangentes de façon à ce qu’elles frappent la même paire de cordes en différents endroits, on obtient des notes différentes. » Les premiers clavicordes dans lesquels une paire de cordes produisait plusieurs notes étaient connus sous le nom de clavicordes « liés ». Les clavicordes « libres », dans lesquels chaque paire de cordes ne produisait qu’une seule note, devinrent plus courants à partir de la fin du XVIIe siècle. Le fait que la tangente soit en contact direct avec les cordes pendant la durée de la note implique que le joueur peut moduler la hauteur de cette note en augmentant ou en diminuant la pression sur la touche. Cela produit une « prolongation subtile, comme une pulsation » de la sonorité connue sous le nom de Bebung, qui veut dire littéralement « tremblement ». La capacité à produire ce vibrato est l’une des « caractéristiques les plus célèbres » du clavicorde. Les partitions donnent cependant peu d’indications sur le Bebung, et c’est un effet particulier dont il ne faut pas abuser.
Le clavicorde « n’est pas un instrument facile à bien jouer, et meilleur il est, plus il risque d’être difficile à jouer, car sa sensibilité signifie invariablement que la moindre fluctuation involontaire dans le toucher fera une différence de puissance et de hauteur clairement audible. De plus, comme la pression exercée sur les touches affecte la hauteur des notes, l’interprète doit maintenir une pression égale après la frappe, et doit penser aux notes pendant toute leur durée, et pas seulement au début et à la fin. » La maîtrise des difficultés du clavicorde est cependant une expérience gratifiante à la fois pour le musicien et pour l’auditoire, et un joueur sensible, techniquement doué, peut réussir un nombre considérable d’effets et de nuances, depuis un pianissimo presque inaudible jusqu’à un vigoureux fortissimo plein de feu. Bien que la sonorité de l’instrument soit relativement modeste, cette légère limitation, qui signifie que le clavicorde est plus à l’aise dans le cadre d’un concert intime, est largement compensée par son vaste éventail de qualités expressives. Il est vraiment « le plus subtil et le plus expressif de (ces instruments) dont le son est produit par des cordes plutôt que par des tuyaux ».
Bon nombre d’ouvrages pédagogiques sur la technique du clavicorde ont été publiés au fil des siècles. Le premier traité à avoir abordé la question importante de la position des mains et des doigts, un certain Libro llamado Arte de tañer fantasía, así para tecla como para vihuela de Tomás de Santa María, fut publié à Valladolid en 1565. La partie de l’ouvrage intitulée « De la manière de placer les mains comme il faut » dit que « les mains doivent être crochues, comme les pattes d’un chat, sans faire de bosse entre le dos de la main et les doigts, de sorte que les racines des doigts soient maintenues très basses (…). Il faut frapper les touches avec la pulpe du doigt sans que l’ongle ne les frappe jamais. On y parvient en abaissant le poignet et en tendant les doigts en avant, grâce à quoi les notes sonnent pleinement, doucement et agréablement (…) ». On a suggéré que les poignets abaissés étaient une technique dérivée de celle de l’orgue positif ; dans des ouvrages ultérieurs on défend une position du poignet qui place l’avant-bras et la main sur une même ligne droite. D’autres traités furent publiés plus tard en Italie comme Il Transilvano de Girolamo Diruta en 1593, et I primi albori musicali per il principianti della musica figurata de Lorenzo Penna en 1684. Diruta est le premier auteur à mettre l’accent sur « l’importance du relâchement complet des mains et des avant-bras » ; il défendait aussi une position des mains fléchies de façon naturelle. Ces recommandations s’appuient sur de nombreux documents iconographiques qui montrent des joueurs de clavicordes en action : petit à petit la position « crochue » des doigts fut supplantée par une position plus élevée de la main avec les doigts légèrement fléchis.
De nombreux traités sur la technique du clavicorde furent publiés au XVIIIe siècle, particulièrement en Allemagne ; le plus connu d’entre eux est (et reste) Versuch über die wahre Art, das Clavier zu spielen (1753/1763) de C.P.E. Bach. Cet ouvrage réitère le conseil désormais classique sur « les muscles naturellement relâchés et la position fléchie des doigts », et attache une importance particulière au pouce : « Ceux qui n’utilisent leurs pouces que rarement joueront habituellement avec plus de raideur que ceux qui l’utilisent correctement et pour qui tout sera facile. Cette aisance se reconnaît d’un coup d’œil chez le claviériste. S’il comprend le vrai doigté, il jouera les pièces les plus difficiles d’une telle manière que les mouvements de ses mains seront à peine visibles (…). Ceux qui n’utilisent pas le pouce le laissent pendre pour qu’il ne gêne pas les autres doigts. Que peut-on jouer correctement dans une telle position ? L’utilisation du pouce ne donne pas seulement un doigt de plus à la main, elle est aussi la clé vers toutes les sortes de doigtés. Ce doigt important est même encore plus utile par le fait qu’il force les autres à rester souples (…). Ce qui est joué sans le pouce, avec des muscles raidis et étirés, peut être joué rondement, clairement, avec une tension entièrement naturelle et donc facilement, avec le pouce. » Malgré la valeur et l’intérêt indéniable des traités historiques, le clavicorde est en fait lui-même un aussi bon professeur que n’importe quel manuel, et peut-être même meilleur. Il ne pardonne aucune position inadéquate de la main (il « crache »et « bloque » impitoyablement si le doigt ne frappe pas la touche à l’endroit exact et parfaitement comme il faut, en particulier pour les touches noires), mais il est merveilleusement généreux lorsqu’on utilise une technique appropriée, produisant alors des variations infinies de sonorités et d’atmosphères subtilement graduées.
Le clavicorde est apparu en Europe à la fin du XIVe siècle, et était probablement dérivé du monocorde, « planche rectangulaire sur laquelle était tendue une corde unique », dont Quintilien, qui écrivait au premier siècle de notre ère, prétend qu’il avait été inventé par Pythagore au VIe siècle avant J.C. Il était connu sous de nombreuses appellations, et le Grove Dictionary commence son article sur l’instrument par une liste où on trouve clavicorde, manicorde, manicordium, clavichord, Klavichord, manicordo, sordino, clavichordium, clavicordio et manicordio. On le désignait aussi souvent sous le terme générique de clavier. Les premières images de clavicordes apparaissent au XVe siècle dans des vitraux, des tableaux peints, des sculptures et des manuscrits dans différents pays comme l’Allemagne, l’Angleterre, l’Espagne, les Pays-Bas et la Suède. D’après Bernard Brauchli dans son ouvrage complet intitulé Le Clavicorde, l’instrument est apparenté aux monocordes contemporains à archet et à clavier, à la trompette marine, à l’eschequier, au psaltérion et au tympanon. La première description technique et le premier plan d’un clavicorde apparaissent dans un manuscrit écrit dans les années 1440 par Henri Arnaut de Zwolle, astronome et médecin hollandais qui a été au service du Duc de Bourgogne à Dijon et à la Cour de France à Paris. Le clavicorde qu’il décrit est très petit, moins d’un mètre de long, et possède une étendue de trois octaves. On trouve une autre référence importante dans les délicieuses intarsia finement exécutées du Palazzo Ducale d’Urbino (vers 1480). Ces trompe-l’œil montrent un très beau clavicorde si exactement représenté que des facteurs d’instrument modernes ont pu le reconstruire. Des documents littéraires anglais et écossais des XVe et XVIe siècles parlent de l’usage du clavicorde comme instrument d’enseignement, l’une de ses fonctions principales au cours de son histoire, et des lettres italiennes de la fin du XVe siècle donnent un aperçu fascinant du travail de Lorenzo da Pavia, facteur de clavicordes très admiré. Isabella d’Este, lorsqu’elle lui commanda son premier clavicorde, écrivit : « Nous avons vu un clavicorde magnifique et sans défaut que vous aviez construit pour l’illustre Duchesse de Milan. (…) Nous souhaitons avoir un instrument aussi parfait. Nous avons pensé qu’en Italie il n’y a personne qui puisse mieux nous servir que vous. » (…). Il est malheureux qu’aucun des instruments de Lorenzo ne nous soit parvenu.
Dès le XVIe siècle la forme du clavicorde avait évolué, et le clavier s’était déporté du centre vers la gauche ; sa table d’harmonie s’était agrandie et s’était déportée davantage vers la droite, quittant le dessous du clavier. Le clavicorde le plus ancien qui subsiste aujourd’hui, dont on pense qu’il a été l’œuvre d’un facteur allemand, remonte aux environs de 1540. La sonorité des instruments survivants du XVIe siècle est « étonnamment forte et voisine de celle du virginal » ; ils sont sensibles et merveilleux à jouer, idéalement adaptés à des pièces comme les danses que l’on trouve dans les collections d’Attaignant et de Gardane (dont les pages de titres mentionnent toutes deux le clavicorde), et aux adaptations de pièces vocales.« Pendant le XVIe siècle on pensait que le clavicorde était un instrument idéal pour l’enseignement et l’exercice, et parmi ses qualités on mentionnait son faible coût, la facilité à l’accorder, et le fait qu’il aidait les organistes à acquérir un »bon toucher« . Il était alors populaire dans toute l’Europe, et nombre de sources iconographiques le montrent en action, joué surtout par des femmes, dans l’intimité domestique. Il n’existait pas de musique écrite spécifiquement pour lui à cette époque, quoiqu’il soit mentionné comme une alternative au virginal ou au clavecin sur certaines pages de titre. Par la suite sa faveur décrut progressivement en France, en Angleterre et en Hollande, tandis qu’il conservait sa popularité en Allemagne, en Scandinavie, en Espagne et au Portugal ; cette tendance est confirmée par le grand nombre d’instruments allemands qui subsistent. Le progrès le plus important dans la conception du clavicorde au XVIIe siècle réside dans l’incorporation du clavier à la caisse (dont il dépassait auparavant). Un certain nombre d’instruments de cette époque, tant »liés« que »libres« , ont survécu ; leur sonorité est »brillante et affirmée (…), tandis que l’amélioration de leur toucher tend à donner plus de souplesse au son".
Le XVIIIe siècle a vu le véritable épanouissement du clavicorde. Son étendue embrassait alors cinq octaves complètes, et les auteurs « commençaient à le distinguer comme »aimé plus que tout autre« instrument à clavier, et le déclaraient supérieur pour jouer ouvertures, sonates, toccatas, suites etc. parce qu’il permet de donner un style »chanté« à l’exécution ». C’est pendant cette période que de grands facteurs comme Hass, Hubert, Sibermann et Hoffmann construisirent des clavicordes raffinés et souvent magnifiquement décorés, dont beaucoup ont survécu et sont maintenant conservés dans des collections privées et publiques. Forkel, le biographe de J.S. Bach, écrivit que « (Bach) considérait le clavicorde comme le meilleur instrument pour l’étude et pour toute musique jouée dans un cadre restreint. Il le trouvait le plus susceptible d’exprimer ses sensations intimes les plus raffinées … (et) capable de tellement de subtilités pour un instrument si modeste ». Le clavicorde était idéalement adapté aux styles Sturm und Drang et Empfindsamkeit, et il inspira des compositeurs comme C.P.E. Bach, Müthel, Mozart et Haydn, qui conçurent certaines de leurs plus grandes œuvres pour clavier pour cet instrument. La visite de Charles Burney à C.P.E. Bach, qui mena le clavicorde au « sommet artistique de son existence », lui inspira sa fameuse description de L’état actuel de la musique en Allemagne (1773) : « Après le dîner, qui fut élégamment servi et joyeusement consommé, je le persuadai de s’asseoir à nouveau au clavicorde, dont il joua sans guère s’interrompre jusqu’à près de onze heures. Au cours de la soirée il devint si animé, si possédé, qu’il ne jouait pas seulement, il était comme inspiré. Il avait les yeux fixes, la lèvre inférieure pendante, et une vapeur effervescente émanait de sa physionomie. S’il devait se mettre souvent au travail de cette manière, disait-il, il se mettrait à rajeunir. »
Après une courte période au XIXe siècle au cours de laquelle on ne construisit plus de clavicordes (quoique de grands instruments comptant jusqu’à six octaves aient continué à être fabriqués en Scandinavie bien après 1800) on assista à un regain de faveur de la musique ancienne et baroque à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, qui remit rapidement le clavicorde sur le devant de la scène. Dans les années 1880 le facteur d’instruments, musicologue et musicien Arnold Dolometsch fut l’un des premiers à se faire le champion des instruments anciens comme le luth, la flûte à bec, le clavecin et le clavicorde. Il fabriqua son premier grand clavicorde lié en 1894, pour se tourner plus tard vers des instruments plus petits, peut-être sous l’influence de Violet Gordon-Woodhouse, virtuose anglaise du clavier qui dans les années 1920 et 1930 a été une des premières à utiliser le clavicorde pour jouer Bach et Scarlatti. Le petit instrument de Dolmetsch (Gordon-Wodhouse en possédait cinq) « devint en quelque sorte le modèle standard pour les autres facteurs du XXe siècle. Beaucoup de ces constructeurs (étaient) anglais, et entre les deux guerres un bon nombre de constructeurs allemands commencèrent à en fabriquer, imités par bien d’autres encore depuis la Deuxième guerre mondiale. » Aujourd’hui de nombreux facteurs continuent à en construire et à en améliorer en permanence la fabrication ; la plupart d’entre eux sont concentrés en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord.
Le clavicorde ayant suscité dernièrement un intérêt considérable, Bernard Brauchli a mis ce renouveau d’intérêt à profit pour fonder le Symposium International de Clavicorde en 1993 (qui se tient tous les deux ans), ainsi qu’un Center for Clavichord Studies (co-dirigé par Christopher Hogwood) en 1996. Ils ont tous deux leur siège à Magnano en Italie. On a vu naître des associations pour le clavicorde en Grande-Bretagne, à Boston aux Etats-Unis, en Allemagne, en Suisse, en Hollande, au Japon et en Finlande, et elles sont toutes extrêmement actives. Elles organisent des séries de concerts, des master-classes, des conférences et des ateliers, et publient régulièrement des bulletins. Clavicord International, magazine de langue anglaise, offre non seulement d’abondants articles écrits par des musicologues, des organologues, des facteurs d’instruments et des interprètes, mais aussi des critiques discographiques et des informations sur les activités des différentes associations. L’intérêt pour l’enregistrement sur clavicorde s’est accru rapidement ces dernières années, et près de cent CD sont disponibles actuellement. Les périodes couvertes vont du XVIe au XXe siècle, avec un intérêt particulier pour le XVIIIe siècle, en particulier pour J.S. et C.P.E. Bach. Des compositeurs/instrumentistes contemporains comme Keith Jarret et Jean-Jacques Dünki ont écrit de nouvelles œuvres pour clavicorde, et la British Clavichord Society sponsorise actuellement le premier concours de composition pour clavicorde qui ait jamais eu lieu. Les associations de clavicorde proposent de nombreuses master-classes partout dans le monde, et on enseigne régulièrement l’instrument dans les Conservatoires d’Amsterdam et d’Oulu (en Finlande). Ces exemples prouvent amplement que le clavicorde continuera à inspirer les musiciens, facteurs et chercheurs au XXIe siècle, et que les mots profondément sentis de Philippine Gatterer, poétesse allemande du XVIIIe siècle, sonnent toujours juste :
Chagrin muet en mon sein,Je me laisse glisser vers toi ;Doux clavier, libère-moi de ma peine,Apporte-moi l’harmonie et la joie.
Bibliographie
Brauchli Bernard et Susan, et Alberto Galazzo, éditeurs, De Clavicordio, Proceedings of the International Clavichord Symposium, 1993. Instituto Per I Beni Musicale in Piemonte, Magnano, 1994.
Brauchli, Bernard, The Clavichord, Cambridge University Press, Cambridge, 1998 Fabbri, M. Dal clavicembalo al pianoforte, Brescia, 1968.
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Loesser, Arthur, Men, Women and Pianos, Simon and Schuster, New York, 1954.
Neupert, H. Das Klavichord, Kassel, 1948.
Rimbault, E. F. The Pianoforte : its Origins, Progress and Construction, with somo account of the Clavichord, Virginal, Spinet, Harpsichord, Londres, 1980.
Sadie, Stanley, editor. The New Grove Dictionary of Music and Musicians, Macmillan Publishers, London, 1980, Volumes 1 and 4.
Van Ree Bernard, N. Seven steps Clavichord Development between 1400 and 1800, Buren, 1987.
Traduit par Joël Surleau
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